Soupe de sang, je bois et déguste mes dents. Ce soir mon corps stupide est ivre, mes jeux violents e conviennent plus. La reine insouciante et pervertie par l'immondice. Et la caricature, embrasse les ténèbres, et crie à la lumière. Je ne peux plus marcher avec toi alors glisse-toi dans ma bouche et je te changerai en pouce, changerai ta couche. Elle participe à la souplesse, ô l'infâme trahison. Soleil brûle ses jeunes ailes pour qu'il reste vivre en moi. Un bout de toi, partie de moi, je ne pense qu'à ça. J'implore la secousse, refuse la fusion, l'ultime fin. Empêchant l'horreur de cet orifice tu tisses tes erreurs. Elle si douce, l'autre si sale. Pourquoi en porter ce mal ? Poupon de chair, j'attends. La peau, le crâne, les os. Bouton d'ovaire se défend. Encore, moi je pense à ce qui va éclore. J'ai tranché la tête de l'avorteuse, vampire psychique. Elle était si malheureuse, vampire psychique. En grande léthargie de l'âme, vampire psychique, comprends sa chance, cette garce te suce l'esprit, embrassait le gros abdomen. Si tu savais comme je l'aime, si tu savais comme je l'aime. C'est mes abîmes que je sublime. J'ai si peur de le perdre que j'ai vomi ma vie dans la sienne. J'ai puni mon cœur par le feu de la géhenne. Entre deux nausées : l'instant sourd
~Eths~