Je l'écoute encore & encore inlassablement,
Comprenant que chaque mot est une lame,
Que tu enfonces toujours plus loin dans mon cœur suffoquant,
Et la douleur qui vient du corps se transmet à l'âme,
Ou est-ce l'âme qui saturé transmet pour rester vivant,
Je ne sais plus il y a longtemps que je n'ai plus d'arme,
Et pourtant tu persistes âme gardé vivante,
De jolis bonheurs possibles tu es passé à bourreau infâme,
Et tu viens me narguer avec ta vie appétissante,
Mais souvient-toi je n'ai perdu que mon âme.