Tu lui diras que je l'aime,
Tu lui diras que loin de lui je souffre,
Tu lui diras qu'il me manque,
Tu lui diras que sa voix me fait rêver,
Tu lui diras que sont regard m'embelli,
Tu lui diras que je pense à lui,
Tu lui diras tout ça demain...

Promet le moi

Et après, tu lui diras de venir chez moi,
Tu lui diras d'entrer sans frapper,
Tu lui diras de monter,
Tu lui diras d'entrer dans ma chambre,
Tu lui diras de me regarder,
Je serais sur mon lit.
Tu lui diras que je l'aime encore...

Promet le moi

Mais surtout, ne lui dit pas,
Qu'au moments où tu lui parle,
Je serais en train de mourir.
Que son absence m'a fait mal,
Et que je me venge.
Et après, tu le rejoindras,
Tu verras un couteau,
Et tu lui diras,
Que je ne rêve plus,
Que je m'enlaidie;
A cause de lui...

Soupe de sang, je bois et déguste mes dents. Ce soir mon corps stupide est ivre, mes jeux violents e conviennent plus. La reine insouciante et pervertie par l'immondice. Et la caricature, embrasse les ténèbres, et crie à la lumière. Je ne peux plus marcher avec toi alors glisse-toi dans ma bouche et je te changerai en pouce, changerai ta couche. Elle participe à la souplesse, ô l'infâme trahison. Soleil brûle ses jeunes ailes pour qu'il reste vivre en moi. Un bout de toi, partie de moi, je ne pense qu'à ça. J'implore la secousse, refuse la fusion, l'ultime fin. Empêchant l'horreur de cet orifice tu tisses tes erreurs. Elle si douce, l'autre si sale. Pourquoi en porter ce mal ? Poupon de chair, j'attends. La peau, le crâne, les os. Bouton d'ovaire se défend. Encore, moi je pense à ce qui va éclore. J'ai tranché la tête de l'avorteuse, vampire psychique. Elle était si malheureuse, vampire psychique. En grande léthargie de l'âme, vampire psychique, comprends sa chance, cette garce te suce l'esprit, embrassait le gros abdomen. Si tu savais comme je l'aime, si tu savais comme je l'aime. C'est mes abîmes que je sublime. J'ai si peur de le perdre que j'ai vomi ma vie dans la sienne. J'ai puni mon cœur par le feu de la géhenne. Entre deux nausées : l'instant sourd
~Eths~

Petite fille, petite dame 
Grand rêve, grand drame
Sors de cette illusion
Réveille ta raison

Petite fille, petite fleur
Grande espérance, grande douleur
Réveille toi de ce rêve
Même si la vie est mièvre

Petite fille, petite flamme
Grandes peurs, trop de larmes
La vie est tel qu'elle est
Et elle le sera à jamais

Petite fille, petit espoir
Grande peine, trop de noir
Regarde de toi et trouve la force
D'ouvrir cette porte...

La mort est venue frapper à ma porte.
Je me suis envolée avec elle.
Ma porte s'est verrouillée
Et je connais le bonheur a tout jamais...

Silencieuse, elle se glisse souvent sans prévenir
Noir et triste, elle apporte le chagrin, 
La tristesse, elle brise les cœurs.
Quelques fois elle apaise
Lorsque la vie est insoutenable.

Par la souffrance on l'appelle
Pour trouver la paix.
Certaines personnes la provoquent,
Inlassablement pour rencontrer des sensations ou par dépression.

Elle est le contraire de la vie, 
De la lumière elle reste une énigme, 
Qu'y a-t-il après le mystère ?
Le noir ou la lumière...