Je ne trouve plus les mots

Je n'ai plus la force d'écrire

Une part de mon inspiration s'en est allée là-haut

En emportant mes idées et mes rires

Je ne trouve plus les mots

Je ne sais plus les rendre vivants

Trop de joie, trop de peine pour les rendre beaux

Qui sait si ça s'arrangera avec le temps?

Je ne trouve plus les mots

Ces mots à apposer sur mes rêves

Ou ceux pour exprimer mes maux

Je ne trouve plus les mots

Je ne sais plus ni parler ni écrire

Je ne vois qu'une page blanche qui se lève...

 Tout est marqué fini, 
Le départ imminent, 
Elle est fin prête. 
Prête pour ce grand voyage 
Qui l'emmène loin de lui, 
Loin de ce qu'ils ont été, 
De ce grand vide que s'est creusé 
Entre leurs 2 âmes si différentes, 
Maintenant incapables de s'aimer. 
Le train l'attend, 
Elle monte dedans sans se retourner, 
Priant pour qu'il parte vite et loin, 
Pour que jamais il ne reviennes. 
Derrière elle laisse tant de choses, 
Des souvenirs heureux comme malheureux 
La douleur et son ancien amant. 
Elle quitte tout pour renaitre, 
Elle part le coeur vide 
Et enfin pret, 
A éclore pour découvrir encore 

Cette Femme Etait Sublime ♥

Une femme décide à la dernière minute d'avoir un excellent bronzage, pour une occasion spéciale. Quand elle s'est aperçue des limites d'exposition imposées par les salons, elle s'est inscrite à plusieurs salons d'UV. Quelques jours plus tard, son mari lui dit qu'elle send une odeur bizarre. Elle se douchait et se douchait sans que cette odeur ne parte. Finalement, elle s'est rendue chez le medecin, au vu de la situation il lui fit faire des examens et ceux-ci révela qu'elle avait, en quelque sorte, brulé ses organes internes et qu'il n'y avait rien a faire pour arranger cela.

>>>>>>>>>>>> Les organes sont une partie très sensibles, donc ce qui es a savoir c'est que ce texte est vrai. Les UV peuvent endomager nos organes internes! 

Il me frappa à nouveau. La douleur me brûlait. Les larmes coulaient le long de mes joues. Des larmes salées et qui brûlaient mes plaies, parsemées sur mon visage. Il éclata de rire. Un rire diabolique. La douleur m'avait envahie, sans surprise, sans répit. J'essayais de me faire petite, de disparaitre. Disparaitre de ce monde violent et injuste. Il me frappa à nouveau. Je m'affalai sur le sol. Le goût du sang commença à s'accentuer dans ma bouche. Ensanglantée et larmoyante, je pris un clou,sur le sol, et, impuissante devant mon destin, et devant cet homme sans coeur et sans pitié, je me l'enfonçai dans le coeur. Ma tête retomba sur le sol tandis qu'un mince filet de sang commença à couler le long de ma joue...